Une illustration de Gwendal Lemercier, inspirée des quatre nouvelles de l’anthologie steampunk Vol. 3 – Exploration et frontières culturelles.
Vous y reconnaîtrez le zeppelin et le poulpe géant extrait de Renaissance, de Benjamin Lupu. Le zeppelin s’apprête à traverser un nexus, sorte de trou de ver temporel, permettant de voyager dans le temps de manière naturelle (inspiré de la nouvelle d’Ostramus, Illusions d’outre-temps). Au pied de ce tableau, on remarque une frêle embarcation ballottée par les flots et en arrière-plan, une terre : l’Australie (oui, il faut le savoir, c’est vrai), théâtre de l’intrigue de Précieuses entrailles de Tepthida Hay. Enfin, le design du dirigeable est inspiré du Nautilus, le fameux sous-marin du Capitaine Nemo. La référence renvoie au texte de Caroline Léger, Casques de cuivre et chapeaux de feutre, où les personnages plongent dans leurs romans préférés grâce à des simulateurs, notamment dans Vingt mille lieux sous les mers.
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